Mission St Christophe Et Marie
"Venez à moi, dis le Seigneur, vous tous qui peinez, vous qui est accablés, et moi je referai vos forces"

 
 
 


Parce que cerains mots sont trop peu employés ou vous paraissent "barbares", vous trouverez à votre disposition une liste non exhaustive de mots relatifs aussi bien aux temes technique liés à la sécurité routière qu'à la foi.
Pour une plus grande aisance, les termes techniques religieux et de la sécurité routière ne sont pas mélangés.
 
A
Abbaye : Monastère d’hommes ou de femmes doté d’une autonomie juridique et dirigé par un abbé (de l’araméen abba, père) ou une abbesse

Anathème : Du latin anathema. Excommunication majeure prononcée contre les hérétiques ou les ennemis de la foi catholique.

Ancien Testament : Voir Bible.

Antienne : Du grec antiphônos, qui répond. Refrain repris par le choeur entre chaque verset d'un psaume ou chanté seulement avant ou après le psaume.

Antiphonaire : Du grec antiphônos, qui répond. Livre contenant la musique pour les offices autres que la messe, il concorde avec le bréviaire. Le mot antiphonaire tire son nom des antiennes. Mais par extension, il a fini par signifier toutes les parties chantées d’un office, dont il contient les différents hymnes.

Apocalypse : Du grec apokalupsis, révélation. Dernier livre du Nouveau Testament, attribué par l'Eglise à saint Jean l’Evangéliste, riche en visions symboliques, prophétiques et eschatologiques.

Aron : L’Arche d’Alliance (aron ha-berit) du Tabernacle du désert ; ce terme désigne également l’arche-armoire de la synagogue (aron ha-qodesh).

Ascension : Du latin ascensio. Fête commémorant la montée au ciel du Christ, quarante jours après Pâques.

Ascétisme : Du latin asceta ; du grec askêtês, celui qui s’exerce. Désigne le genre de vie religieuse de personnes qui s’imposent par piété, des exercices de pénitence, des privations, des mortifications.

Ashkénase : Terme biblique qui, depuis le Moyen Age, désigne une ère culturelle de la civilisation juive, comprenant l’Angleterre, la France au nord de la Loire, la région rhénane, l’Allemagne actuelle, la Pologne, l’Europe centrale et orientale ; ainsi que les rites liturgiques et les coutumes spécifiques qui se sont développés dans ces pays.

d’intervention urgente et des véhicules des services d’entretien de l’autoroute.


B

Béatification : Du latin beatificare. Acte de l’autorité pontificale par lequel une personne défunte est mise aux rang des « bienheureux » et peut bénéficier d’un culte local.

Bénédictin : Du latin benedictus d’où vient le prénom Benoît. Adjectif appliqué aux ordres et aux moines qui vivent selon la règle de Saint-Benoît, c’est à dire Benoît de Nursie, fondateur du monastère du Mont-Cassin vers 530. Revue et corrigée par Benoît d’Aniane, un abbé du Languedoc qui avait été conseiller de Charlemagne, cette règle devint la règle de quasiment tous les monastères d’Occident au IXe siècle.

Bible : Du latin biblia : "le livre", c'est à dire le livre sacré des Juifs (Ancien Testament seul) et des Chrétiens (Ancien et Nouveau Testament).
La Bible des Chrétiens contient 71 livres, originellement écrits en hébreu, en araméen (la langue que parlait le Christ) et en grec.
La Bible hébraïque (l'Ancien Testament), dans l'ordre canonique fixé par les Juifs de Palestine au début de l'ère chrétienne, contient 24 livres. Ces livres sont indiqués par les lettres BH suivies de un ou deux chiffres.
Il faut distinguer la Bible hébraïque de la Bible des Septante, bible (Ancien Testament) traduite en grec à Alexandrie pour les Juifs de la dispersion, qui contient un plus grand nombre de livres et incorpore des livres entrés dans l'Ancien Testament des Chrétiens, de même que des livres non reçus dans l'ordre canonique chrétien et considérés comme "apocryphes" (voir Evangile).

ANCIEN TESTAMENT, 43 LIVRES
Pentateuque
        La Genèse                         BH 1
        L'Exode                             BH 2
        Le Lévitique                      BH 3
        Les Nombres                     BH 4
        Le Deutéronome                BH 5
Les Livres Historiques
        Josué                                 BH 6
        Juges                                 BH 7
        Ruth                                  BH 17
        Samuel                              BH 8
        Le Livre des Rois             BH 9
        Livres des chroniques       BH 24 [dernier livre de la bible juive]
        Esdras                               BH 23 [Esdras et Néhémie réunis]
        Néhémie                            BH 23
        Tobie
        Judith
        Esther                                BH 21
        1er Livre des Macchabées
        2e Livre des Maccabées
Les Livres poétiques et sapientiaux
        Job                                    BH 15
        Psaumes                            BH 14
        Proverbes                         BH 16
        Ecclésiaste                       BH 19 (Qohélet)
        Cantique des cantiques     BH 18
        Livre de la sagesse
        Ecclésiastique
Les Livres prophétiques
        Isaïe                                   BH 10
        Jérémie                             BH 11
        Lamentations                     BH 20
        Livre de Baruch
        Ezéchiel                            BH 12
        Daniel                                BH 22
        Osée                                  BH 13 [les Douze prophètes en un livre]
        Joël                                    BH 13-2
        Amos                                 BH 13-3
        Abdias                               BH 13-4
        Jonas                                  BH 15-5
        Michée                               BH 13-6
        Nahum                                BH 13-7
        Habaquq                             BH 13-8
        Sophonie                            BH 13-9
        Aggée                                 BH 13-10
        Zacharie                             BH 13-11
        Malachie                            BH 13-12

NOUVEAU TESTAMENT, 28 LIVRES (ICI DANS LEUR APPELLATION CATHOLIQUE)
Les Evangiles [c'est à dire "la bonne nouvelle"]
         Evangile selon Saint Matthieu
         Evangile selon Saint Marc
         Evangile selon Saint Luc
         Evangile selon Saint Jean

Actes des Apôtres
Epîtres [c'est à dire "lettres"] de Saint-Paul
         aux Romains
         Première aux Corinthiens
         Deuxième aux Corinthiens
         aux Galates
         aux Ephésiens
         aux Philippiens
         aux Colossiens
         Première aux Thessaloniciens
         Deuxième aux Thessaloniciens
         Première à Thimothée
         Deuxième à Thimothée
         à Tite
         à Philémon
         Epître aux Hébreux
Epîtres catholiques
         Epître de Saint-Jacques
         Première Epître de Saint-Pierre
         Deuxième Epître de Saint-Pierre
         Première Epître de Saint-Jean
         Deuxième Epître de Saint-Jean
         Troisième Epître de Saint-Jean
         Epître de Saint-Jude
L'Apocalypse [c'est à dire "la révélation"]

Bréviaire
Du latin brevis, bref. Livre liturgique contenant tous les textes de l'office divin, c'est à dire les prières, les hymnes, les psaumes et les lectures pour toutes les heures de prières officielles de chaque jour (matines, laudes, prime, tierce, sexte, none, vêpres et complies), agencées selon les jours de l'année ecclésiastique et les fêtes des saints.

Bulle
Du latin médiéval bulla, sceau. Lettre patente du pape, avec le sceau de plomb, désignée par les premiers mots du texte (ex. bulle Unigenitus), et contenant ordinairement une constitution générale (ex.bulle d'excommunication ; bulle d'indiction pour la convocation d’un concile).

 
C
 
Calendrier : Du latin calendarium, registre de dettes. Liste des mois de l'année indiquant les jours de fête, principalement celles des saints. Il figure au début de plusieurs manuscrits comme les bréviaires et les livres d'heures.

Canon : Du grec kanôn, mesure, règle. Partie de la messe contenant les paroles sacramentelles et les oraisons, allant de la préface au Pater [Pater noster, qui es in coelis ... Notre père, qui êtes (ou es) aux cieux ...].

Canonisation : Du grec kanôn, mesure, règle. Prononcée par le pape, elle met le « canonisé » au nombre des saints suivant les règles et avec les cérémonies prescrites par l'église.

Cardinal : Du latin cardinalis, de cardo, -inis, pivot. Membre du « Sacré collège », électeur et conseiller du pape (les cardinaux réunis en conclaveélisent le pape).

Carème : Du latin quadragesima dies, le quarantième jour. Période de quarante six jours d’abstinence et de privation entre le mardi gras et le jour de Pâques, pendant laquelle, à l’exception des dimanches, l’Eglise catholique prescrivait, puis recommandait le jeûne et la prière.

Catéchèse : Du grec katêkhêsis. Enseignement des principes de la foi. Le catéchisme est sa version simplifiée sous la forme de questions-réponses destinée aux enfants.

Cathédrale : Du latin cathedra, siège, chaire épiscopale. Une cathédrale n'est pas simplement une église de grande taille, et il y a de petites cathédrales. La cathédrale est l'église de l'évêque, ou se trouve son siège ("cathèdre") cérémoniel.

Chanoine : Du latin canonicus, terme d’abord appliqué à des clercs vivant selon une règle, ou « canon ». Les chanoines (ou chanoinesses) ont un statut intermédiaire entre les moines et les clercs, et constituent le chapitre d’une cathédrale ou collégiale.

Chapitre : Du latin capitulum. Dans les monastère, l’usage était de lire des fragments (ou des chapitres) de la règle canonique devant les chanoines ou lesmoines assemblés. Ces « chapitres » ont donné leur nom à des réunions particulières puis à l’ensemble de ceux qui y participaient, enfin au lieu où elles se tenaient, la « salle capitulaire ».

Clerc : Du latin clericus. Celui qui est entré dans l’état ecclésiastique par réception de la tonsure.

Cloître : Du latin claustrum, clôture. Galerie couverte, de forme carrée, permettant d’aller de l’un à l’autre des bâtiments conventuels (église, logis de l’abbé, réfectoire et dortoir des moines). La bibliothèque principale où « armarium » du monastère donnait fréquemment sur le cloître.

Comput : Du latin computus. Calculs chronologiques servant à dresser le calendrier des fêtes mobiles, particulièrement de Pâques.

Concile : Du latin consilium, assemblée. Réunion des évêques et des docteurs en théologie, pour statuer, en accord avec le pape, sur des questions de dogme, de morale ou de discipline.

Conclave : Du latin conclave, chambre fermée à clé. Désigne le lieu où s’assemblent les cardinauxpour élire un nouveau pape, et l’assemblée elle-même.

Congrégation : Du latin grex, gregis, troupeau . En droit canon, une congrégation religieuse est un groupement de religieux ou de religieuses qui ne sont ni moines ni moniales, qui ont prononcé des voeux simples, temporaires ou perpétuels. Au XIXe siècle, en langage courant, le terme a aussi servi à désigner les ordres.

Consistoire : Du latin consistorium. Assemblée des cardinaux sous la présidence du pape pour s’occuper des affaires générales de l'église (voir Concile). Egalement assemblée de pasteurs ou du conseil de la synagogue qui dirige une communauté protestante ou israëlite.

Convers : Du latin conversus, converti. Frères laïques - religieux de plein droit sans être des moines principalement destinés par les cisterciens à l’exploitation des domaines ruraux. De fait, les convers étaient majoritairement d’origine plus modeste et avaient un rang inférieur à celui des moines.

Couvent : Du latin conventus, mot désignant une assemblée, une communauté et, à ce titre, il est d’un emploi constant au Moyen-Age pour les hommes comme pour les femmes. Avec la création des ordres mendiants, le couvent désigne une maison religieuse ; il se distingue du monastère en ce sens que les membres de la communauté ne sont pas des moines, mais des religieux (pouvant ainsi sortir du couvent, à la différence des moines qui se doivent de vivre à l’écart du monde).

Curé : Du latin cura, soin. Prêtre chargé de la direction spirituelle et de l’administration d’une paroisse dite « cure ».



D
Décalogue : Du grec deka, dix, et logos, parole. Les dix commandements gravés sur des tables, que Dieu donna à Moïse sur le Mont Sinaï.

Diaspora : Ensemble des communautés juives établies hors de Palestine, surtout après l’Exil (VIe siècle avant Jésus Christ) ou qui demeurent en dehors d’Israël depuis la création de cet Etat.

Docteur de l’Eglise : Théologien qui enseigne les dogmes du christianisme et à qui est accordé ce titre officiel de par l’importance de ses écrits.

Docteur de la loi : Dans le judaïsme, spécialiste et interprète autorisé de la Torah.

Dogme : Du grec dogma, opinion. Point de doctrine établi ou regardé comme une vérité fondamentale et incontestable.

Droit canon : Du latin directum, ce qui est juste, et du grec kanôn , mesure, règle. Les Pères de l'église ont employé ces termes pour nommer le recueil des livres bibliques reconnus par l’Eglise, la loi ecclésiastique et, plus particulièrement, les décrets des conciles relatifs à la foi et à la discipline. Le droit canon est l’ensemble des dispositions juridiques établies par l’autorité ecclésiastique. Il a pour objet la régulation de la vie sociale du groupe ecclésial ; précise la mission de l’institution ; définit le statut des fidèles et les organes du gouvernement ; fixe les procédures diverses.
 

E
Eglise : Du grec ekklêsia, assemblée convoquée. Communauté religieuse fondée par les disciples de Jésus-Christ. Catholique et romaine, elle groupe la portion la plus nombreuse de la chrétienté ;  soumise au pape, lequel réside au Vatican. Se sont séparées d’elle, d’une part, les églises orientales, dites « orthodoxes », qui regroupent les Eglises chalcédoniennes ou non chalcédoniennes (selon qu’elles ont accepté ou non les conclusions du concile de Chalcédoine, en 451), issues pour l’essentiel du schisme de 1054 ; et, d’autre part, les Eglises protestantes, nées de la réforme luthérienne et calviniste du XVIe siècle.
Edifice où se réunissent les chrétiens catholiques pour célébrer leur culte.

Encyclique : Du grec egkuklios, circulaire. Lettre envoyée par le pape à tous les évêques (ou parfois à ceux d’une seule nation), généralement pour rappeler la doctrine de l'église à propos d’un problème d’actualité.

Eschatologie : Du grec eschatos, dernier, et logos, discours. Ensemble de doctrines et de croyances portant sur le destin final de l’homme (eschatologie individuelle) et de l’univers (eschatologie universelle).

Eucharistie : Du grec eukharistia signifiant « action de grâce ». L’eucharistie est le sacrement essentiel du christianisme, car il incarne réellement et substanciellement le corps, le sang et la divinité de Jésus-Christ, sous les espèces du pain et du vin. C’est le mystère pascal qui y est célébré, commémorant et perpétuant ainsi le sacrifice du Christ.

Evangéliaire : Livre contenant les passages des Rvangiles lus ou chantés à la messe pour chaque jour de l’année liturgique.

Evangile : Littéralement : « bonne nouvelle ».Désigne chacun des livres de la Bible où la vie et la doctrine du Christ ont été consignées. Les Pères de l'Eglise ont dû opérer un tri entre les écrits apocryphes et les écrits canoniques. Les premiers sont le fruit d’assemblées de fidèles désireuses de porter la Bonne Nouvelle en l’auréolant de merveilleux et de symbolique, sans que la transmission des textes soit fiables ; les seconds sont conformes à l’enseignement apostolique.

Evêque : Du latin episcopum, emprunté au grec episkopos, gardien, surveillant. Dignitaire de l’ordre le plus élevé de la prêtrise, qui dans l’Eglise catholique est chargé de la conduite d’un diocèse.

Excommunication : Du latin excommunicatio. Peine ecclésiastique par laquelle quelqu’un est retranché de la communion de l’Eglise catholique.



 


F
 
G
Graduel (ou livre de choeur) : Du latin gradus, degré. Livre contenant la musique pour la célébration de la messe  ; il concorde avec le missel. Par extension, le mot signifie toutes les parties chantées de la messe.
 

H

Hagiographie : Du grec hagios, saint, et graphein, écrire. Ouvrage qui fait le récit de la vie des saints.

Hérésie : Du grec hairesis, choix. Doctrine d’origine chrétienne contraire à la foi catholique et condamnée par l'Eglise.

Heures : Du latin hora. Prières présentées dans le bréviaire et qui sont dites ou chantées aux heures fixes du jour. Terme aussi utilisé comme abréviation pour Livre d'heures quand le mot est accompagné d'un nom de possesseur mécène ou bibliophile, par exemple les Heures Sforza.

Hymne : Du grec humnos. Chant religieux à la gloire de Dieu, utilisé durant les fêtes, les processions, les célébrations, et qui trouve également sa place dans la piété individuelle.

HOMOLOGUÉ : Validé, reconnu officiellement après vérification. 
 

I

Imprimatur : Mot latin, littéralement : « qu'il soit imprimé ». Autorisation d'imprimer un ouvrage, notamment de philosophie, de théologie, de spiritualité, de morale ou d'histoire religieuse, accordée par l'autorité ecclésiastique, l'évêque d'un diocèse par exemple. Cette mention est généralement indiquée au verso de la page de titre. Anciennement, les universités accordaient des imprimatur pour les publications de leurs professeurs. Les membres du clergé et des différents ordres religieux devaient nécessairement obtenir cette autorisation avant de publier. Cette règle est moins stricte de nos jours. 

Imprimi potest : Littéralement : « peut être imprimé ». Permission d'imprimer un ouvrage écrit notamment par un membre du clergé ou d'un ordre religieux, accordé par un supérieur religieux. Cette mention se trouve généralement placée au verso de la page de titre.

Index : Mot latin, littéralement « indicateur ». Le mot a deux sens : liste de mots clés de recherche figurant à la fin d'un volume (index des noms propres, des sujets, des matières, etc... ; et, pour les catholiques, liste de livres prohibés ou sujets à caution. L'Index librorum prohibitorum fut publié pour la dernière fois en 1948.

Indiction : Du latin indictio, taxe extraordinaire. Rang qu’occupe une année dans la période de quinze ans, prise en compte dans le comput ecclésiastique. Désigne aussi la fixation d’un jour dit pour la réunion d’un concile ou d’un synode.

Inquisition : Du latin inquisitio, de inquirere, rechercher. Tribunal spécial institué par la papauté pour lutter contre l'hérésie au moyen d’une procédure particulière, l’enquête (inquisitio). Introduite devant les tribunaux ecclésiastiques par Innocent III (1199), la procédure inquisitoriale (interrogatoire, torture, châtiments), fut confiée aux dominicains (XIIIe siècle) pour lutter contre les albigeois dans le midi de la France. Efficace contre les cathares et les vaudois , l’Inquisition ne put pratiquement rien contre le protestantisme (sauf en Espagne et en Italie). Elle disparut au XVIIIe siècle, sauf en Espagne où elle se maintint, un temps, sous une forme politique.



J

 
K

 
 L
Lectionnaire : Recueil de "leçons" ou "péricopes", c’est-à-dire d’extraits des Actes des Apôtres et des Epîtres (Nouveau Testament à lire lors des offices.

Liturgie : Du grec leitougia, de leitos, public, et ergon, œuvre. Ensemble des prières, des cérémonies et des actions prescrites dans le culte chrétien.

Livre d'heures : Recueil de divers textes pieux que son propriétaire pouvait lire en privé. La partie essentielle du manuscrit (qui représente en général le premier tiers du volume) comprend les Heures de la Vierge c’est à dire une série de prières et de psaumes en l’honneur de la Vierge Marie, devant être récités à chacune des heures canoniales de la journée : Matines, Laudes, Prime (1ère heure après le lever du soleil), Tierce (3ème heure), Sixte (6ème heure), None (9ème heure), Vêpres et Complies, d’où le nom de Livre d’heures. Les moines et les religieuses étaient tenus de réciter leur bréviaire le même nombre de fois par jour ; le texte central du Livre d’heures n’étant qu’une variante plus courte, destinée aux laïques, du même cycle de prières monastiques. Le Livre d’heures servait également, au Moyen Age, à l’apprentissage de la lecture aux enfants. Généralement, il était adapté à l'usage liturgique d'une ville ou d'un diocèse particulier.

Livre de prières : Contient des prières individuelles et des textes dévotionnels à usage personnel. Contrairement à celles du Livre d'Heures, les prières ne sont pas ordonnées selon un schéma liturgique .

 
M
Messe : Du latin missa, action de renvoyer. Cérémonie commémorant le sacrifice du corps et du sang de Jésus-Christ sous les espèces du pain et du vin, par le ministère du prêtre et suivant le rite prescrit.
Elle est à distinguer des huit autres offices quotidiens. Elle contient le sacrement de l'Eucharistie, qui symbolise précisement le sacrifice du corps et du sang du Christ, par le ministère du prêtre, institué par le Christ lors de la Cène (c'est à dire le dernier repas pris en commun par le Christ et les Apôtres). C'est la cérémonie la plus importante de l'Eglise catholique, elle se célèbre à l'autel, à l'aide du Missel.
La partie la plus solennelle de la Messe est le Canon, qui ne variait jamais, au cours de laquelle on chantait la prière à Dieu le père tout puissant : "Saint, saint, saint est le Seigneur, Dieu des armées. Les cieux et la terre sont remplis de ta gloire (Sanctus, sanctus, sanctus Dominus Deus Sabaoth. Pleni sunt coeli et terra gloria tua ..)".

Missel : Du latin missalis liber, livre de messe. Livre liturgique contenant toutes les prières lues ou chantées à la Messe pendant l'année ecclésiastique (les parties fixes et les parties variables du propre du temps et du propre des saints).

Moine : Du latin monachus, solitaire. Homme qui s’est retiré du monde pour vivre en ascète ( voir ascétisme) et se consacrer à la prière dans un monastère, en communauté, et qui mène une existence soumise à la règle de son ordre, après avoir prononcé des voeux solennels de pauvreté, de chasteté et d’obéissance à ses supérieurs.

Monastère : Ensemble de bâtiments où vit une communauté de moines et de moniales.

Moniale : Féminin de moine. Femme qui consacre sa vie à Dieu, comme le moine. Religieuse cloîtrée.

Mystère : Du grec mustês, initié à une vérité cachée. Désigne un dogme révélé inaccessible à la raison.

N
NDE

O

P

Q
 
R

S


T
Trinité : La Trinité chrétienne, dans les principaux courants du christianisme, désigne Dieu, unique, en trois hypostases, Père, Fils et Esprit Saint, égales et participant à une même essence.L'énoncé du dogme de la Trinité se présente comme la conséquence de ce qui est dit du mystère de Dieu dans les Ecritures : Dans l'Ancien Testament, Dieu a révélé son existence et son unicité  ; dans le Nouveau Testament ont été affirmés la divinité de Jésus-Christ et le caractère personnel de l'Esprit-Saint.




U


V


W

X

Y

Z

 



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